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La septième ronde de ce prestigieux tournoi fut sans conteste l’une des plus combative. En effet, pas moins de 4 victoires sur les 7 parties jouées. Le jeune norvégien Magnus Carlsen, désormais favori même dans de tels événements, n’était avant cette partie, qu’à la moyenne, avec 3 points - une victoire, une défaite et 4 nulles. Il était apparié à une autre jeune star des échecs, Teimour Radjabov - un Radjabov pour le moment invaincu dans ce tournoi à l’issue de la ronde 6 avec 3,5 points à son compteur. Ces deux joueurs de grande valeur nous promettent presque à chaque fois une partie explosive, et ne se font aucun cadeau sur l’échiquier. A l’heure actuelle, Carlsen mène au score, mais de peu - 4 victoires à 3 pour 10 parties nulles - face à son concurrent.

Je vous propose de suivre avec moi leur affrontement lors de cette 7ème ronde.

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A l’automne 2000, le jeune Magnus est invité à participer au grand open de Bad Wiessee, à une heure à peine au sud Munich en Allemagne.
Le jeune norvégien débuta le tournoi par une victoire face à Klaus Gschwendtner (2116) et devint rapidement le “chouchou” de l’épreuve.
Après 9 rondes, Magnus avait scoré 4,5 points contre une opposition à 2100 elo en moyenne.
La foule qui s’amassait autour de la table de Magnus, n’y venait pas uniquement pour voir un jeune joueur, mais aussi parce qu’il jouait de jolies parties.
Face à Günter Kaiser (2095), un joueur local, Magnus fit une démonstration de la puissance de la paire de fous, ainsi que de la signification du contrôle central.
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En Septembre 2000, Magnus n’a pas encore 10 ans et participe au championnat junior de Norvège. Il considère aujourd’hui cette épreuve comme une avancée capitale dans sa carrière de joueur d’échecs…
Magnus y réalisa 3,5 sur 5 face aux meilleurs juniors du pays, réalisant au passage une performance de presque 2000 elo.
Il y remporta une jolie partie face à Erik Eikeland qui possèdait à l’époque un elo de 1602…
Voici cette partie commentée par son entraîneur et talentueux joueur : Simen Agdestein. Lire la suite de l’article »

Vous n’êtes peut-être pas sans savoir que je voue un culte au jeune Carlsen (lol).
Son style combinatoire flamboyant, sa volonté de gagner à tout prix et ses résultats impressionnants ne peuvent que plaire.
J’inaugure donc ici la publication de quelques parties de la jeune star norvégienne en commençant par ses débuts.
Les commentaires sont traduits du livre de Simen Agdestein, un autre joueur norvégien sans concession et entraîneur de Magnus. Lire la suite de l’article »